Histoire
L’histoire de NEG débute en Janvier 2020, lorsque la fondatrice Tessa Naime décide de présenter un projet de recherche-création, à l’Udes (Canada), pour le cours de Théories postcoloniales.
En Mai 2020, le premier numéro du mag est publié sur WordPress et Calaméo. Ce projet de recherche porte sur le scandale sanitaire du Chlordécone, des (anciennes) colonies françaises. Il est évalué le même mois par le professeur Stéphane Martelly. En Février 2021, le compte Instagram de NEG est créé, ainsi que le compte Tumblr pour un public anglophone.
En Mai 2021, le second numéro du magazine est publié. Bien reçu par le public, il prend place à la Médiathèque LAMECA (Caraïbe), de Guadeloupe, en Juin 2021.
Mission
NEG est un magazine/revue dédié aux résistances intellectuelles, artistiques et postcoloniales des sociétés post-esclavagistes des Antilles françaises.
La revue s’inscrit dans une démarche de contribution et d’émancipation intellectuelle. La plupart des informations, études ou recherches apportées proviennent de communautés afrodescendantes de la zone Caraïbe. Les langues présentes dans les articles sont : le Français, le Créole, l’Anglais. Nous donnons la parole aux citoyens engagés, aux artistes, aux penseurs, aux militants et autres figures de résistance. La sélection des intervenants est assurée sans distinction fondée sur le sexe, la religion, l’identité, l’idéologie politique.
NEG est un média libre, indépendant, MAWON.
A propos
La rédactrice en chef de ce magazine n’est autre que Tessa Naime, une écrivaine guadeloupéenne, originaire du Sud Basse-Terre. Adepte des mouvements anticolonialistes, elle se définit comme une jeune « fanoniste ». Ses écrits portent sur l’identité, l’émancipation noire, l’émancipation féminine et la sexualité.